.
D
es éléments d’une gendarmerie de Douala ont arrêté à un homme dit homosexuel.
Les rapports ont indiqué que l'homme a été arrêté dans le quartier de Bepanda à Douala, un été pris en flagrant délit d'homosexualité.
Le jeune homme dont le nom donné a TCR est Ebwel Ebwel Guy Claude avait une relation amoureuse avec son partenaire sexuel quand il a été surpris par les Gendarmes qui l’ont arrêté et emmené à leur poste.
L'information recueillie par les Gendarmes parlait d’un passant qui avait vu Claude embrasser son petit ami.
Quand ils sont arrivés sur les lieux, le petit ami a réussi à s'échapper mais Claude a été arrêté. Selon un habitant du quartier de Bepanda à Douala, Ebwel Ebwel Guy Claude pratique l'homosexualité depuis très longtemps et ne le cache pas en dépit d'un ressentiment et d'une stigmatisation incalculable de la part des membres de sa famille et de ses amis.
« Claude embrassait son partenaire sexuel même dans les bars, dans les rues et presque partout, affirmant qu'il avait trouvé la joie et la consolation de sortir avec d'autres hommes.» Le récit raconte que le samedi 7 janvier 2017, Claude était dans une romance chaude avec son petit ami qu’il embrassait dans un bar non loin de la route.
Un témoin a dit à plusieurs reprises l’avoir vu nourrissant son partenaire, par voie orale, jusqu'à ce qu'une dame les voit et en informe les gendarmes.
Après le tip-off de la femme, des éléments de la Gendarmerie ont immédiatement pris d'assaut le lieu. À leur arrivée, ils ont attrapé Claude par le pantalon et son partenaire qui était assis sur ses genoux a pris la fuite, mais Claude a été arrêté avant de pouvoir faire quelques pas.
TCR un recueilli auprès de sources concordantes que sur le chemin de la gare, les gendarmes ont fortement fustigé Claude et l'ont torturé sévèrement avec leurs matraques. Ils ont également menacé de l'incinérer.
Des sources familiales, ont déclaré à TCR que, lui (Claude), avait disparu de la gendarmerie deux jours après sa détention et que, ses faits sont restées inconnues.
L'officier de gendarmerie en service après le jour de sa disparition aurait été suspendu après avoir été accusé d'avoir reçu de l'argent pour permettre à Claude de s’enfuir.
Au Cameroun, les mauvais traitements et la discrimination contre les lesbiennes et les homosexuels sont très courants et sont même affichés dans les arènes publiques.
Ce traitement minable a atteint des proportions incalculables à un moment donné que les relations entre personnes de même sexe sont devenues un débat houleux dans les rassemblements publics et les organes de presse, la plupart des tenants de l'opinion se déchaînant contre les pratiquants.
Au Cameroun, il est courant d'entendre les gens dire que l'homosexualité est étrangère et inacceptable des valeurs africaines. Les journaux le citent comme une action «corrompu» et «abominable». Certaines personnes interrogées parlent d’une «perversion», un «culte» ou une «sorcellerie».
Au cours des cinq dernières années, les attaques contre les homosexuels, les lesbiennes, les bisexuels et les transgenres ont été un refrain courant dans le discours des politiciens, les reportages des médias, les homélies religieuses, la vie communautaire et l'application de la loi.
L'article 347 du code pénal camerounais punit les «relations sexuelles avec une personne du même sexe» d'une peine d'emprisonnement de six mois à cinq ans et d'une amende de 20 000 à 200 000 francs CFA.
Mais la plupart des couples de même sexe ne sont frappés de peine d'emprisonnement, mais font l’objet de discrimination de la part de la population et les membres de la famille qui pensent toujours aux sectes pernicieuses.
Beaucoup d'entre eux ont préféré ceux qui protégeaient les gais et les lesbiennes.
Ebwel Ebwel Guy Claude est l'une des victimes qui ont souffert d'injustice et de lourdes accusations pour avoir été gay. Il a donc pu s'échapper pour un pays qui accepte les relations homosexuelles, le seul moyen d'obtenir une vie sans accroc.
es éléments d’une gendarmerie de Douala ont arrêté à un homme dit homosexuel.
Les rapports ont indiqué que l'homme a été arrêté dans le quartier de Bepanda à Douala, un été pris en flagrant délit d'homosexualité.
Le jeune homme dont le nom donné a TCR est Ebwel Ebwel Guy Claude avait une relation amoureuse avec son partenaire sexuel quand il a été surpris par les Gendarmes qui l’ont arrêté et emmené à leur poste.
L'information recueillie par les Gendarmes parlait d’un passant qui avait vu Claude embrasser son petit ami.
Quand ils sont arrivés sur les lieux, le petit ami a réussi à s'échapper mais Claude a été arrêté. Selon un habitant du quartier de Bepanda à Douala, Ebwel Ebwel Guy Claude pratique l'homosexualité depuis très longtemps et ne le cache pas en dépit d'un ressentiment et d'une stigmatisation incalculable de la part des membres de sa famille et de ses amis.
« Claude embrassait son partenaire sexuel même dans les bars, dans les rues et presque partout, affirmant qu'il avait trouvé la joie et la consolation de sortir avec d'autres hommes.» Le récit raconte que le samedi 7 janvier 2017, Claude était dans une romance chaude avec son petit ami qu’il embrassait dans un bar non loin de la route.
Un témoin a dit à plusieurs reprises l’avoir vu nourrissant son partenaire, par voie orale, jusqu'à ce qu'une dame les voit et en informe les gendarmes.
Après le tip-off de la femme, des éléments de la Gendarmerie ont immédiatement pris d'assaut le lieu. À leur arrivée, ils ont attrapé Claude par le pantalon et son partenaire qui était assis sur ses genoux a pris la fuite, mais Claude a été arrêté avant de pouvoir faire quelques pas.
TCR un recueilli auprès de sources concordantes que sur le chemin de la gare, les gendarmes ont fortement fustigé Claude et l'ont torturé sévèrement avec leurs matraques. Ils ont également menacé de l'incinérer.
Des sources familiales, ont déclaré à TCR que, lui (Claude), avait disparu de la gendarmerie deux jours après sa détention et que, ses faits sont restées inconnues.
L'officier de gendarmerie en service après le jour de sa disparition aurait été suspendu après avoir été accusé d'avoir reçu de l'argent pour permettre à Claude de s’enfuir.
Au Cameroun, les mauvais traitements et la discrimination contre les lesbiennes et les homosexuels sont très courants et sont même affichés dans les arènes publiques.
Ce traitement minable a atteint des proportions incalculables à un moment donné que les relations entre personnes de même sexe sont devenues un débat houleux dans les rassemblements publics et les organes de presse, la plupart des tenants de l'opinion se déchaînant contre les pratiquants.
Au Cameroun, il est courant d'entendre les gens dire que l'homosexualité est étrangère et inacceptable des valeurs africaines. Les journaux le citent comme une action «corrompu» et «abominable». Certaines personnes interrogées parlent d’une «perversion», un «culte» ou une «sorcellerie».
Au cours des cinq dernières années, les attaques contre les homosexuels, les lesbiennes, les bisexuels et les transgenres ont été un refrain courant dans le discours des politiciens, les reportages des médias, les homélies religieuses, la vie communautaire et l'application de la loi.
L'article 347 du code pénal camerounais punit les «relations sexuelles avec une personne du même sexe» d'une peine d'emprisonnement de six mois à cinq ans et d'une amende de 20 000 à 200 000 francs CFA.
Mais la plupart des couples de même sexe ne sont frappés de peine d'emprisonnement, mais font l’objet de discrimination de la part de la population et les membres de la famille qui pensent toujours aux sectes pernicieuses.
Beaucoup d'entre eux ont préféré ceux qui protégeaient les gais et les lesbiennes.
Ebwel Ebwel Guy Claude est l'une des victimes qui ont souffert d'injustice et de lourdes accusations pour avoir été gay. Il a donc pu s'échapper pour un pays qui accepte les relations homosexuelles, le seul moyen d'obtenir une vie sans accroc.
Par un correspondant
No comments:
Post a Comment